lailatvx
Karim mon mari esclave
Mon mari Karim (lailatvx sur le net) et moi, nous formons un vrai couple depuis 10 ans. Notre vie sexuelle est épanouie, et je prends plaisir à le sucer autant qu'à me faire sucer et enculer. Mais dernièrement, tout a basculé suite à une vantardise de sa part :
« Je te parie qu'on peut baiser pendant une heure d'affilée sans que je débande ! » Prétendait-il.
Moi, je doutais un peu. Il m'a limée, avec sa petite queue bien droite et fine, mais pas durant une heure car il a vite joui en quelques secondes. Au fait, c’est un éjaculateur précoce !
Total en gage, j'ai eu le droit de lui demander ce qui me plaisait :
- Karim, je vais t'habiller en femelle et tu m'obéiras en tout ! Tu seras ma petite pute à queue !
Mon mari faisait la grimace. Je l'ai fait mettre nu, je l'ai lavé partout, et j'ai déballé mes sous-vêtements. J'ai étiré un slip en dentelles sous son nez. Une fois en érection maximale, j'ai accroché le slip au bout de son zizi pour l'humilier.
"Ta queue sera comme un portemanteau", lui ai-je dit.
Alors Karim a rougi comme un gamin. Amusée, j'ai pris le slip par ses extrémités et j'en ai fait une sorte d'élastique passé autour du zizi de mon homme.
J'ai cisaillé son membre en tirant le slip par les deux bouts. Karim gémissait et me demandait d'arrêter.
"Non, tu dois m'obéir en tout! ".
II a compris et s'est calmé, alors je l'ai fait mettre à quatre pattes. J'ai doigté son anus en le félicitant d’avoir une si belle croupe, et puis même jeu avec le slip tendu comme un élastique.
Chaque fois que je passais et repassais ce bout de tissu entre ses fesses, il couinait très fort. Finalement, je le lui ai fait enfiler. J'ai complété avec des bas, un porte-jarretelles, un soutien-gorge. Je l'ai emmené devant la glace, et là, je l'ai peloté. II bandait si dur que mon pauvre petit slip était prêt à se déchirer. Je n’en revenais pas, mon mari était une vraie salope !
Pour le calmer, je suis allée prendre le plumeau, à manche de bambou et je lui ai donné vingt coups sur le cul. Il se trémoussait, de larges zébrures rouges le marquaient sur les fesses. Je me suis calmée, le temps de me mettre nue. "Karim, vilain petit chien, lèche ta maîtresse !"
II a du faire le beau entre mes cuisses et me donner de grands coups de langue dans la chatte. J’étais léchée, lâchée et toute excitée…
J'écartais mes lèvres et mes nymphes pour lui rendre l'accès facile. Puis, je me suis retournée, penchée en avant, et j'ai posé ma lune bien en chair sur sa bouche d'esclave.
"Suce et lèche, petit sale pédé, enfonce ta langue dans le trou de ta maîtresse ! ".
Mon époux a obéi, pour la première fois, sa langue glissait dans mon anus dilaté de plaisir. J'ai écarté mes fesses à deux mains pour mieux jouir de cette caresse baveuse. En même temps, je me branlais par-devant et ma tige d'amour se gondolait, toute rose. J'ai pressé ce petit zizi en érection jusqu'à ce qu'il devienne douloureux, alors je l'ai simplement titillé du bout des doigts et j'ai joui.
Mon jus coulait entre mes cuisses, dans mes poils. Je me suis retournée à temps pour pose ma fente sur la bouche de Karim et lui ordonner de me boire. II a bien nettoyé ma fente juteuse, alors je lui ai accordé une caresse sur la joue.
Je me prenais à fond au jeu puisque, lui aussi, apparemment adorait cela… j’en rajoutais alors…
Karim reçut l'ordre de faire la vaisselle, le ménage, de nettoyer la salle de bain, le tout en petite tenue. II était mignon, son cul moulé par mon slip de dentelle, sa queue en érection, et ses cuisses gainées de nylon. J'ai passé l'inspection, déniché une tasse mal lavée, ce qui lui a valu vingt coups de manche en bambou. II se tortillait de douleur, moi je frappais très dur, je jouissais debout, rien qu'à voir mon homme réduit à l'état de soubrette.
J’avais une terrible envie de le battre qui me faisait me mordre les lèvres. J'ai dégrafé son soutif et sucé ses tétons qui ont durci. Alors, je les ai cinglés avec l'extrémité du manche, et cette fois, Karim s'est écroulé à mes pieds. II m'a supplié d'arrêter.
Je lui ai fait grâce et je lui ai dit de s'allonger sur le lit. Je lui ai retiré son slip et j'ai sucé son zizi. Je titillais le méat du bout de ma langue et puis je m'enfonçais ce manche dans le gosier jusqu'à ce que ses couilles me caressent le menton. J'ai bien joué avec ma "poupée mâle", et puis je me suis emmanchée sur sa petite bite luisante de salive. J'ai chevauché mon esclave de face, en l'autorisant à me travailler délicatement le bout des seins. II s'est appliqué et m'a fait jouir très fort.
Depuis ce jour, mon mari me supplie de le travestir en femme et de le commander. II supporte de mieux en mieux les punitions, la cravache (que je viens d'acheter), et accepte même, sans rechigner, de se mettre au service de mes amies intimes.
Dernièrement, avec mon amie Jamila, nous avions passé l'après midi à nous distraire avec Karim. Il avait d'abord fait le ménage en tenue de soubrette pendant que nous faisions l'amour toutes les deux dans la chambre. (Jamila est une superbe blonde de 30 ans, très portée sur les femmes). Ensuite, nous avons "inspecté" le travail effectué par notre "bonniche" et, bien sur, nous avons trouvé plein de choses à redire ! Nous lui avons donc infligé une punition de 50 coups de cravache. Karim voulut discuter comme quoi c'était trop, mais Jamila lui dit : "Un mot de plus et ce sera 100 coups". Il se tut immédiatement et, sur mon ordre, il se mit en position sur « le punissoir ». Il s'agit d'un banc assez haut au-dessus duquel il peut se plier. On attache ensuite ses chevilles écartées aux montants d'un des cotés et ses poignets de l'autre coté. Son cul est alors offert et nous pouvons donner libre cours à nos envies de le maltraiter. Le petit salaud ne se plaint d'ailleurs pas souvent de cet "accessoire" puisque c'est lui qui l'a construit. Une fois encore, nous avons eu la preuve que mon esclave était excité par ce qui allait lui arriver car il bandait comme un Turc. (Si ce n'est la dimension de son engin qui n'est pas vraiment comparable à un Turc.)
Avec Jamila, nous nous sommes partagé les 50 coups en riant et en nous efforçant de bien marquer ce joli cul offert à notre sévérité. Alors que nous arrivions au bout des 50 coups et que le cul de mon chéri était bien rouge et marqué, ce petit salaud se mit à éjaculer en grognant comme un porc et sans même s’être masturbé. Nous étions à la fois ravies de l'avoir fait jouir comme ça et très en colère qu'il n'ait pas demandé l'autorisation de jouir. Nous avons ensuite pris le thé, excitées comme tout, et après nous avoir servi, nous avons mis Karim au coin, les mains sur la tête, la jupette relevée pour exhiber son cul bien zébré.
Au cours de la discussion, Jamila me dit soudainement : "Ma chérie, tu sais que je ne raffole pas des hommes, mais je sais que toi, tu les aimes. Maintenant que tu as une bonniche à la place d'un mari, il serait temps que tu prennes un amant pour satisfaire tes envies. D'autant plus que si ta lopette jouit à chaque fois que tu lui caresses les fesses avec la cravache, il ne pourra jamais te satisfaire."
Je n'avais jamais pensé à ça jusque là, mais cette idée me fit aussitôt mouiller. Je répondis aussitôt : "C'est une bonne idée que tu as là, c’est que maintenant mon mari n’est plus vraiment un homme."
En tournant la tête vers le coin où mon époux était en pénitence, je lui dis de venir à mes pieds. Je n'étais pas certaine encore de vouloir risquer mon mariage (j'aime toujours beaucoup mon mari Karim) mais alors que mon esclave arrivait vers moi à 4 pattes, la tête baissée, je vis qu'il avait recommencé à bander. Le petit salaud, il bandait alors qu'on était en train d'évoquer l'idée de le faire cocu. Jamila ne manqua pas de remarquer cet état de fait et déclara : « Et en plus, ça fait bander ta lopette de savoir qu'il va être cocu ! ».
J’étais subjuguée de voir mon mari si bas, je pensais à toutes ces années auprès de lui où je ne soupçonnais pas ses attirances. À mes yeux, il tombait bien bas, je n’avais plus de respect pour ce « sous homme », une nouvelle ère s’ouvrait pour moi de liberté et de plaisir épanoui…
Je m'adossais au canapé en ouvrant mes cuisses au maximum et j'ordonnais à Karim de nettoyer ma chatte trempée à l'idée des grosses bites qui allaient bientôt la pénétrer. Sans un mot, il se mit à l'ouvrage alors que Jamila évoquait des amis à elle très bien montés qu'elle pourrait me présenter. Je commençais à mouiller comme une fontaine sous les coups de langue de mon soumis. Jamila se positionna derrière mon époux qui, à 4 pattes, exhibait son cul rougi et elle lui massa la rosette avec du gel avant de lui entrer un petit gode dans le cul. Durant toute l'opération, Karim continuait son travail de léchage et j'approchais doucement de l'orgasme. Ma copine continuait durant tout ce temps à faire des commentaires salaces qui ne faisaient que m'exciter davantage : « Et puis s'il est sage ce cocu, il aura le droit de préparer ta chatte pour tes amants ».
Elle se mit alors à pistonner l'anus de Karim vigoureusement tout en lui effleurant les couilles de ses ongles en continuant à m'exciter : « Tu vois chérie, quand tu auras trouvé quelques amants vigoureux, ta vie sera parfaite : satisfaction sexuelle garantie et un petit toutou soumis pour t'entretenir et te faire la vie belle pendant ce temps ».
Au même moment, j'explosais en arrosant le visage de mon esclave de mon jus et lui se répandit misérablement sur le tapis, sans se masturber. Nous l'avons insulté de s'être laissé aller comme ça et l’avons remis au coin.
Lorsque Jamila fut partie, je me tournais vers lui et dis : « Tu vois, puisque tu n'as pas pu tenir une heure, il va falloir que je trouve quelqu'un d'autre pour ça ! ». Il ne dit rien et baissa la tête.
Je compris alors que l'avenir s'annonçait bien pour moi !
FIN
« Je te parie qu'on peut baiser pendant une heure d'affilée sans que je débande ! » Prétendait-il.
Moi, je doutais un peu. Il m'a limée, avec sa petite queue bien droite et fine, mais pas durant une heure car il a vite joui en quelques secondes. Au fait, c’est un éjaculateur précoce !
Total en gage, j'ai eu le droit de lui demander ce qui me plaisait :
- Karim, je vais t'habiller en femelle et tu m'obéiras en tout ! Tu seras ma petite pute à queue !
Mon mari faisait la grimace. Je l'ai fait mettre nu, je l'ai lavé partout, et j'ai déballé mes sous-vêtements. J'ai étiré un slip en dentelles sous son nez. Une fois en érection maximale, j'ai accroché le slip au bout de son zizi pour l'humilier.
"Ta queue sera comme un portemanteau", lui ai-je dit.
Alors Karim a rougi comme un gamin. Amusée, j'ai pris le slip par ses extrémités et j'en ai fait une sorte d'élastique passé autour du zizi de mon homme.
J'ai cisaillé son membre en tirant le slip par les deux bouts. Karim gémissait et me demandait d'arrêter.
"Non, tu dois m'obéir en tout! ".
II a compris et s'est calmé, alors je l'ai fait mettre à quatre pattes. J'ai doigté son anus en le félicitant d’avoir une si belle croupe, et puis même jeu avec le slip tendu comme un élastique.
Chaque fois que je passais et repassais ce bout de tissu entre ses fesses, il couinait très fort. Finalement, je le lui ai fait enfiler. J'ai complété avec des bas, un porte-jarretelles, un soutien-gorge. Je l'ai emmené devant la glace, et là, je l'ai peloté. II bandait si dur que mon pauvre petit slip était prêt à se déchirer. Je n’en revenais pas, mon mari était une vraie salope !
Pour le calmer, je suis allée prendre le plumeau, à manche de bambou et je lui ai donné vingt coups sur le cul. Il se trémoussait, de larges zébrures rouges le marquaient sur les fesses. Je me suis calmée, le temps de me mettre nue. "Karim, vilain petit chien, lèche ta maîtresse !"
II a du faire le beau entre mes cuisses et me donner de grands coups de langue dans la chatte. J’étais léchée, lâchée et toute excitée…
J'écartais mes lèvres et mes nymphes pour lui rendre l'accès facile. Puis, je me suis retournée, penchée en avant, et j'ai posé ma lune bien en chair sur sa bouche d'esclave.
"Suce et lèche, petit sale pédé, enfonce ta langue dans le trou de ta maîtresse ! ".
Mon époux a obéi, pour la première fois, sa langue glissait dans mon anus dilaté de plaisir. J'ai écarté mes fesses à deux mains pour mieux jouir de cette caresse baveuse. En même temps, je me branlais par-devant et ma tige d'amour se gondolait, toute rose. J'ai pressé ce petit zizi en érection jusqu'à ce qu'il devienne douloureux, alors je l'ai simplement titillé du bout des doigts et j'ai joui.
Mon jus coulait entre mes cuisses, dans mes poils. Je me suis retournée à temps pour pose ma fente sur la bouche de Karim et lui ordonner de me boire. II a bien nettoyé ma fente juteuse, alors je lui ai accordé une caresse sur la joue.
Je me prenais à fond au jeu puisque, lui aussi, apparemment adorait cela… j’en rajoutais alors…
Karim reçut l'ordre de faire la vaisselle, le ménage, de nettoyer la salle de bain, le tout en petite tenue. II était mignon, son cul moulé par mon slip de dentelle, sa queue en érection, et ses cuisses gainées de nylon. J'ai passé l'inspection, déniché une tasse mal lavée, ce qui lui a valu vingt coups de manche en bambou. II se tortillait de douleur, moi je frappais très dur, je jouissais debout, rien qu'à voir mon homme réduit à l'état de soubrette.
J’avais une terrible envie de le battre qui me faisait me mordre les lèvres. J'ai dégrafé son soutif et sucé ses tétons qui ont durci. Alors, je les ai cinglés avec l'extrémité du manche, et cette fois, Karim s'est écroulé à mes pieds. II m'a supplié d'arrêter.
Je lui ai fait grâce et je lui ai dit de s'allonger sur le lit. Je lui ai retiré son slip et j'ai sucé son zizi. Je titillais le méat du bout de ma langue et puis je m'enfonçais ce manche dans le gosier jusqu'à ce que ses couilles me caressent le menton. J'ai bien joué avec ma "poupée mâle", et puis je me suis emmanchée sur sa petite bite luisante de salive. J'ai chevauché mon esclave de face, en l'autorisant à me travailler délicatement le bout des seins. II s'est appliqué et m'a fait jouir très fort.
Depuis ce jour, mon mari me supplie de le travestir en femme et de le commander. II supporte de mieux en mieux les punitions, la cravache (que je viens d'acheter), et accepte même, sans rechigner, de se mettre au service de mes amies intimes.
Dernièrement, avec mon amie Jamila, nous avions passé l'après midi à nous distraire avec Karim. Il avait d'abord fait le ménage en tenue de soubrette pendant que nous faisions l'amour toutes les deux dans la chambre. (Jamila est une superbe blonde de 30 ans, très portée sur les femmes). Ensuite, nous avons "inspecté" le travail effectué par notre "bonniche" et, bien sur, nous avons trouvé plein de choses à redire ! Nous lui avons donc infligé une punition de 50 coups de cravache. Karim voulut discuter comme quoi c'était trop, mais Jamila lui dit : "Un mot de plus et ce sera 100 coups". Il se tut immédiatement et, sur mon ordre, il se mit en position sur « le punissoir ». Il s'agit d'un banc assez haut au-dessus duquel il peut se plier. On attache ensuite ses chevilles écartées aux montants d'un des cotés et ses poignets de l'autre coté. Son cul est alors offert et nous pouvons donner libre cours à nos envies de le maltraiter. Le petit salaud ne se plaint d'ailleurs pas souvent de cet "accessoire" puisque c'est lui qui l'a construit. Une fois encore, nous avons eu la preuve que mon esclave était excité par ce qui allait lui arriver car il bandait comme un Turc. (Si ce n'est la dimension de son engin qui n'est pas vraiment comparable à un Turc.)
Avec Jamila, nous nous sommes partagé les 50 coups en riant et en nous efforçant de bien marquer ce joli cul offert à notre sévérité. Alors que nous arrivions au bout des 50 coups et que le cul de mon chéri était bien rouge et marqué, ce petit salaud se mit à éjaculer en grognant comme un porc et sans même s’être masturbé. Nous étions à la fois ravies de l'avoir fait jouir comme ça et très en colère qu'il n'ait pas demandé l'autorisation de jouir. Nous avons ensuite pris le thé, excitées comme tout, et après nous avoir servi, nous avons mis Karim au coin, les mains sur la tête, la jupette relevée pour exhiber son cul bien zébré.
Au cours de la discussion, Jamila me dit soudainement : "Ma chérie, tu sais que je ne raffole pas des hommes, mais je sais que toi, tu les aimes. Maintenant que tu as une bonniche à la place d'un mari, il serait temps que tu prennes un amant pour satisfaire tes envies. D'autant plus que si ta lopette jouit à chaque fois que tu lui caresses les fesses avec la cravache, il ne pourra jamais te satisfaire."
Je n'avais jamais pensé à ça jusque là, mais cette idée me fit aussitôt mouiller. Je répondis aussitôt : "C'est une bonne idée que tu as là, c’est que maintenant mon mari n’est plus vraiment un homme."
En tournant la tête vers le coin où mon époux était en pénitence, je lui dis de venir à mes pieds. Je n'étais pas certaine encore de vouloir risquer mon mariage (j'aime toujours beaucoup mon mari Karim) mais alors que mon esclave arrivait vers moi à 4 pattes, la tête baissée, je vis qu'il avait recommencé à bander. Le petit salaud, il bandait alors qu'on était en train d'évoquer l'idée de le faire cocu. Jamila ne manqua pas de remarquer cet état de fait et déclara : « Et en plus, ça fait bander ta lopette de savoir qu'il va être cocu ! ».
J’étais subjuguée de voir mon mari si bas, je pensais à toutes ces années auprès de lui où je ne soupçonnais pas ses attirances. À mes yeux, il tombait bien bas, je n’avais plus de respect pour ce « sous homme », une nouvelle ère s’ouvrait pour moi de liberté et de plaisir épanoui…
Je m'adossais au canapé en ouvrant mes cuisses au maximum et j'ordonnais à Karim de nettoyer ma chatte trempée à l'idée des grosses bites qui allaient bientôt la pénétrer. Sans un mot, il se mit à l'ouvrage alors que Jamila évoquait des amis à elle très bien montés qu'elle pourrait me présenter. Je commençais à mouiller comme une fontaine sous les coups de langue de mon soumis. Jamila se positionna derrière mon époux qui, à 4 pattes, exhibait son cul rougi et elle lui massa la rosette avec du gel avant de lui entrer un petit gode dans le cul. Durant toute l'opération, Karim continuait son travail de léchage et j'approchais doucement de l'orgasme. Ma copine continuait durant tout ce temps à faire des commentaires salaces qui ne faisaient que m'exciter davantage : « Et puis s'il est sage ce cocu, il aura le droit de préparer ta chatte pour tes amants ».
Elle se mit alors à pistonner l'anus de Karim vigoureusement tout en lui effleurant les couilles de ses ongles en continuant à m'exciter : « Tu vois chérie, quand tu auras trouvé quelques amants vigoureux, ta vie sera parfaite : satisfaction sexuelle garantie et un petit toutou soumis pour t'entretenir et te faire la vie belle pendant ce temps ».
Au même moment, j'explosais en arrosant le visage de mon esclave de mon jus et lui se répandit misérablement sur le tapis, sans se masturber. Nous l'avons insulté de s'être laissé aller comme ça et l’avons remis au coin.
Lorsque Jamila fut partie, je me tournais vers lui et dis : « Tu vois, puisque tu n'as pas pu tenir une heure, il va falloir que je trouve quelqu'un d'autre pour ça ! ». Il ne dit rien et baissa la tête.
Je compris alors que l'avenir s'annonçait bien pour moi !
FIN
Commentaires textes : Écrire
Je suis la petite salope de la faculté
Je suis à la Fac et j'ai une piaule dans une cité universitaire à Rabat (Maroc). Au début de l'année, j'ai eu la visite d'un voisin super gentil, très amusant qui frappe et me demande si je peux lui prêter un peu de shampooing qu'il a oublié d'acheter en allant en ville. Volontiers, je le fais entrer, nous discutons de nos études et de notre avenir, puis je me lève et lui donne le flacon demandé.
Une demie heure après, il revient torse nu, en short, me rapporter le shampooing.
Je ne pensais pas qu'il reviendrait le même soir et j'étais en slip sur mon lit révisant les cours de la journée. Il entre sans frapper et me voit affalé sur le lit, les jambes écartées lisant les polycopies du jour.
Ouah ! Me dit il, tu es un vaillant toi ! Le flacon dans la main, il me demande où le poser et prend un siège et s'assoit face à moi. Son short est court mais je devine qu'il est nu dessous... Dans la discussion, comme il bougeait sur son siège, je vis le bout de son sexe dépasser par l'entrejambe. Sa peau était claire mais le peu que j'ai pu voir paraissait beaucoup plus foncé. Il vit que mon regard était attiré par l'échancrure de son short, et il en abusait ce qui déclara chez moi une belle érection. Une belle érection que j'essayais de dissimuler à ma nouvelle connaissance, mais en vain car je vis que mon excitation avait excité mon interlocuteur. Il se leva comme pour me dire au revoir et je vis le short tendu pointant en avant.
-Tu as vu dans quel état tu m'as mis, me dit-il
Je rougis tout en matant son short et lui répondis :
- Tu me fais le même effet et en étendant les jambes je lui faisais voir mon slip pointant également.
Il baissa son short et je vis son zob pointant face à lui. Magnifique !
Je m'assis sur le lit et me retrouvai le visage à cinq centimètres de son zob. Je sortis ma langue et je commençais à lui lécher le gland et avalai la petite goutte qui venait de perler de son méat... Puis j'ouvris grand la bouche et happai d'abord son gland entre mes lèvres et lui avança son bassin, ce qui fit que tout son sexe pénétra dans ma bouche. Je le tenais avec mes mains par les hanches et contrôlais ses va et vient. Je sentais son excitation grandissante et je vis qu'il montait sur la pointe des pieds, il allait éjaculer...j'enfournais le maximum de son sexe dans ma bouche et le retenais par les fesses. Il lâcha plusieurs jets de sperme au goût salé dans mon palais que je bus aussitôt avec délice jusqu'à la dernière goutte.
Son sexe reprit sa taille originale et il se dégagea pour remonter son short.
- Toi tu es un sacré suceur, je ne me suis pas trompé quand je t'ai vu.
Il me salua et sortit.
Je répondis à son salut avant qu'il ne disparaisse par la porte.
J'étais heureux d'avoir sucé cette belle queue et d'avoir goûté son bon jus mais je restais sur ma faim car je bandais toujours... Quelques minutes après, la masturbation me vida de mes excès et je pus reprendre l'étude de mes polycopies normalement.
Le lendemain, j'eus la visite d'un autre étudiant habitant l'immeuble. Il frappa à ma porte et me demanda si je pouvais lui prêter un livre que j'étais susceptible d'avoir.
Je le fis entrer, il était vêtu d'un survêtement ample. Je le fis asseoir lançant ma recherche dans la pile de livres que je possédais. En attendant, il s'était assis sur une chaise et me regardait dans tous mes déplacements. Comme je ne le trouvais pas, il me dit "tant pis, je repasserais"
Je me rassis sur mon lit, désolé de n'avoir pas pu lui rendre service et quand il se leva, je vis son bas de survêtement pointant en avant. Mon regard ne pouvait s'en détacher. Il resta immobile sa bosse pointant vers moi. Je tendis la main et commençai à caresser cette bosse lentement. Elle était dure comme du bois et mes doigts devinaient bien les contours d'un zob bien fait. Il baissa son pantalon de survêt' et son sexe me sauta à la figure comme un ressort de son piège. Ma main finit de le décalotter et je commençais à le sucer délicieusement. Ses râles me firent comprendre qu'il appréciait la caresse buccale que je lui prodiguais. Son membre de bonne taille allait et venait dans ma bouche bien lubrifiée par ma salive. Je le branlais et suçais en aspirant légèrement quand un flot de jus éclata entre mes lèvres. Il hurla de plaisir et se vida complètement. Puis, une fois sa queue dégonflée, il remonta son pantalon de survêt', me remercia du plaisir donné et après m'avoir salué sortit de ma chambre.
Le soir d'après, un autre étudiant, un africain cette fois, frappa à ma porte, J'ouvris, lui demandant ce qu'il voulait et il me dit "je voudrais te parler"
Je le fis entrer et il m'avoua qu'il connaissait les deux autres, venus précédemment, et qu'il aurait bien aimé avoir les mêmes satisfactions.
Je m'assieds sur mon lit, l'invitant à prendre la chaise derrière lui, mais avant de s'asseoir, il dégrafa son jeans et sortit son zob d'ébène déjà raide. Un engin énorme décalotté avec un gland rond et très gros. Je n'avais jamais vu ça mais j'admirais... je finis par le sucer jusqu'à ce qu'il me crache un flot de sperme qui remplit ma bouche à l'en faire déborder. Je le vidais complètement le branlant en même temps. Son sperme avait bon goût et j'étais comblé.
Il prit un accent de petit nègre et me dit "tu suces bien, petit blanc"
J'étais devenu la petite pute de ce trio où venait s'accompagner quelques autres de leurs camarades. Ils venaient la plupart en short sans rien dessous et, à peine entrés, ils me soumettaient leur zob que je faisais jouir avec délice.
Une demie heure après, il revient torse nu, en short, me rapporter le shampooing.
Je ne pensais pas qu'il reviendrait le même soir et j'étais en slip sur mon lit révisant les cours de la journée. Il entre sans frapper et me voit affalé sur le lit, les jambes écartées lisant les polycopies du jour.
Ouah ! Me dit il, tu es un vaillant toi ! Le flacon dans la main, il me demande où le poser et prend un siège et s'assoit face à moi. Son short est court mais je devine qu'il est nu dessous... Dans la discussion, comme il bougeait sur son siège, je vis le bout de son sexe dépasser par l'entrejambe. Sa peau était claire mais le peu que j'ai pu voir paraissait beaucoup plus foncé. Il vit que mon regard était attiré par l'échancrure de son short, et il en abusait ce qui déclara chez moi une belle érection. Une belle érection que j'essayais de dissimuler à ma nouvelle connaissance, mais en vain car je vis que mon excitation avait excité mon interlocuteur. Il se leva comme pour me dire au revoir et je vis le short tendu pointant en avant.
-Tu as vu dans quel état tu m'as mis, me dit-il
Je rougis tout en matant son short et lui répondis :
- Tu me fais le même effet et en étendant les jambes je lui faisais voir mon slip pointant également.
Il baissa son short et je vis son zob pointant face à lui. Magnifique !
Je m'assis sur le lit et me retrouvai le visage à cinq centimètres de son zob. Je sortis ma langue et je commençais à lui lécher le gland et avalai la petite goutte qui venait de perler de son méat... Puis j'ouvris grand la bouche et happai d'abord son gland entre mes lèvres et lui avança son bassin, ce qui fit que tout son sexe pénétra dans ma bouche. Je le tenais avec mes mains par les hanches et contrôlais ses va et vient. Je sentais son excitation grandissante et je vis qu'il montait sur la pointe des pieds, il allait éjaculer...j'enfournais le maximum de son sexe dans ma bouche et le retenais par les fesses. Il lâcha plusieurs jets de sperme au goût salé dans mon palais que je bus aussitôt avec délice jusqu'à la dernière goutte.
Son sexe reprit sa taille originale et il se dégagea pour remonter son short.
- Toi tu es un sacré suceur, je ne me suis pas trompé quand je t'ai vu.
Il me salua et sortit.
Je répondis à son salut avant qu'il ne disparaisse par la porte.
J'étais heureux d'avoir sucé cette belle queue et d'avoir goûté son bon jus mais je restais sur ma faim car je bandais toujours... Quelques minutes après, la masturbation me vida de mes excès et je pus reprendre l'étude de mes polycopies normalement.
Le lendemain, j'eus la visite d'un autre étudiant habitant l'immeuble. Il frappa à ma porte et me demanda si je pouvais lui prêter un livre que j'étais susceptible d'avoir.
Je le fis entrer, il était vêtu d'un survêtement ample. Je le fis asseoir lançant ma recherche dans la pile de livres que je possédais. En attendant, il s'était assis sur une chaise et me regardait dans tous mes déplacements. Comme je ne le trouvais pas, il me dit "tant pis, je repasserais"
Je me rassis sur mon lit, désolé de n'avoir pas pu lui rendre service et quand il se leva, je vis son bas de survêtement pointant en avant. Mon regard ne pouvait s'en détacher. Il resta immobile sa bosse pointant vers moi. Je tendis la main et commençai à caresser cette bosse lentement. Elle était dure comme du bois et mes doigts devinaient bien les contours d'un zob bien fait. Il baissa son pantalon de survêt' et son sexe me sauta à la figure comme un ressort de son piège. Ma main finit de le décalotter et je commençais à le sucer délicieusement. Ses râles me firent comprendre qu'il appréciait la caresse buccale que je lui prodiguais. Son membre de bonne taille allait et venait dans ma bouche bien lubrifiée par ma salive. Je le branlais et suçais en aspirant légèrement quand un flot de jus éclata entre mes lèvres. Il hurla de plaisir et se vida complètement. Puis, une fois sa queue dégonflée, il remonta son pantalon de survêt', me remercia du plaisir donné et après m'avoir salué sortit de ma chambre.
Le soir d'après, un autre étudiant, un africain cette fois, frappa à ma porte, J'ouvris, lui demandant ce qu'il voulait et il me dit "je voudrais te parler"
Je le fis entrer et il m'avoua qu'il connaissait les deux autres, venus précédemment, et qu'il aurait bien aimé avoir les mêmes satisfactions.
Je m'assieds sur mon lit, l'invitant à prendre la chaise derrière lui, mais avant de s'asseoir, il dégrafa son jeans et sortit son zob d'ébène déjà raide. Un engin énorme décalotté avec un gland rond et très gros. Je n'avais jamais vu ça mais j'admirais... je finis par le sucer jusqu'à ce qu'il me crache un flot de sperme qui remplit ma bouche à l'en faire déborder. Je le vidais complètement le branlant en même temps. Son sperme avait bon goût et j'étais comblé.
Il prit un accent de petit nègre et me dit "tu suces bien, petit blanc"
J'étais devenu la petite pute de ce trio où venait s'accompagner quelques autres de leurs camarades. Ils venaient la plupart en short sans rien dessous et, à peine entrés, ils me soumettaient leur zob que je faisais jouir avec délice.
Commentaires textes : Écrire
Comment je suis devenu Laila
Ça va faire plus de 10 ans maintenant que j’utilise le prénom Laila (lailatvx sur le net), c'est celui qui m’a pris mon innocence.
Il s'appelle Najib, c'est un beau marocain comme moi, peut-être le seul homme que j'aie vraiment aimé jusqu'a maintenant. Je le côtoyais depuis peu de temps, on en restait aux bisous et aux câlins et, de temps en temps, je lui faisais une petite pipe.
Un jour, il m'annonce qu'il m'emmène en vacances chez lui, dans sa ville natale et j’étais tout excité car ça faisait longtemps que je n’avais pas pris de vacances, et surtout avec mon chéri, c'était la 1ere fois.
En arrivant à l’hôtel, je reste un long moment dans ses bras, à l'embrasser et je lui dis que, pour le remercier, je lui ferais tout ce qu'il a envie pendant ces vacances. Le lendemain, il me réveille avec de doux baisers et il vient me glisser à l'oreille qu'il aimerait que je fasse quelque chose pour lui : en effet, à 46ans, il ne s'était jamais marié et il rêvait de se balader dans la rue avec une femme à son bras.
Je décidais donc de jouer le jeu, je mis une djellaba pour femme avec un foulard sur ma tête en ne laissant apparaître que mes yeux pour ne pas attirer l'attention dans la rue. Et nous voila dans les rues comme un couple, je me force à marcher comme une femme en roulant du cul, il porte son bras autour de ma hanche. En arrivant dans son ancien quartier, on rencontre ses anciens amis Il leur explique que je suis sa femme, il me présente en leur disant que je m'appelle Laila, il leur raconte que je suis complètement soumise à lui, qu'il fait ce qu'il veut de moi et quand il me baise, je crie comme une chienne, et ainsi il leur confirme que les Marocaines sont bien les plus grosses salopes.
A ces mots, ses copains sont morts de rire en me regardant et moi, je fais semblant de sourire du coin de l'oeil, comme si je ne comprenais pas.
En rentrant a l’hôtel, je me change vite fait et je lui dis que j'ai des courses à faire, je fonce dans les boutiques acheter de la lingerie, un string, un soutif, chose que je n'oserai jamais faire mais bon, comme je ne connais personne dans sa ville, ça craint rien, une minijupe et petit haut décolleté.
De retour à l’hôtel, je vais me changer dans la salle de bain et, en sortant, il n'en revient pas, il se jette sur moi mais je le repousse au début.
-"Tu sais Najib, tout à l’heure, j’ai entendu tout ce que tu racontais et je me suis sentie humiliée"
-"Non mon cœur, faut pas le prendre comme ça..."
-"Attends mon chéri, laisse moi finir STP : je me suis sentie humiliée mais j’ai surtout ressenti une grande excitation quand tu parlais, je m’imaginais en même temps en train de faire ces choses là avec toi et j’en étais folle. A partir d'aujourd’hui, je serai Laila ta petite chienne et ce soir, je m'offre à toi !".
Il s'est approché de moi et m'a longuement embrassé en me caressant les fesses sous ma jupe, il m’a ensuite plaqué contre le mur, m’a retiré mon petit haut et a commencé à se déshabiller lui aussi.
Je me suis levé et me suis dirigé vers le lit, je me suis cambré pour qu'il aperçoive mon string, il s'est approché, m’a retiré ma jupe et m’a allongé sur le lit.
Il s'est ensuite allongé sur le dos et j’ai commencé à le sucer tendrement comme je fais d’habitude, et lui semblait plus excité que les autres fois. Il me répétait que j’étais sa chienne, sa salope, que j’étais une putain de marocaine et ça me rendait de plus en plus folle. Quand son zob devint bien dur, il se leva et me demanda de me mettre à 4 pattes sur le lit, il commença par me mettre un doigt tout doucement et déjà, je sentais la douleur arriver, puis il en mit un deuxième et quand il fut décidé, il se pencha à mon oreille et me dit « prépare-toi ! ». Et là, j’ai senti sa grosse verge très épaisse forcer le passage et entrer au plus profond de moi, il commença ses vas et vient en accélérant, j’avais très mal, je criais, je pleurais et lui ne s’arrêtait pas, il me répétait que j’étais sa chienne, il me disait :
-"T’es trop bonne, Laila, ton cul de salope est trop bon !"
Et moi, je finis par apprécier ; au bout d’un moment, je lui demandai d’y aller plus fort
-"Oui Najib, je suis ta chienne, baise-moi, déchire mon cul de salope, il est à toi !"
Après plusieurs minutes de baise sauvage, j’ai senti son souffle s'accélérer et d’un coup, j’ai senti un chaud liquide en moi et Najib qui se couchait sur moi. On est resté un long moment allongé sans parler puis il s'est levé fumer une clope dans le balcon.
A son retour, il m’a dit que j’étais très bonne et qu’il avait de la chance d'avoir une salope comme moi. J’étais heureuse et je me suis levée pour l’embrasser.
-"Najib à partir de maintenant, je suis ta salope, considère-moi comme une femme, appelle-moi Laila !"
-"Avec plaisir ma petite chienne "
C’est ainsi que je suis devenu Laila, la petite chienne marocaine de Najib, puis celle d'autres hommes par la suite…
Il s'appelle Najib, c'est un beau marocain comme moi, peut-être le seul homme que j'aie vraiment aimé jusqu'a maintenant. Je le côtoyais depuis peu de temps, on en restait aux bisous et aux câlins et, de temps en temps, je lui faisais une petite pipe.
Un jour, il m'annonce qu'il m'emmène en vacances chez lui, dans sa ville natale et j’étais tout excité car ça faisait longtemps que je n’avais pas pris de vacances, et surtout avec mon chéri, c'était la 1ere fois.
En arrivant à l’hôtel, je reste un long moment dans ses bras, à l'embrasser et je lui dis que, pour le remercier, je lui ferais tout ce qu'il a envie pendant ces vacances. Le lendemain, il me réveille avec de doux baisers et il vient me glisser à l'oreille qu'il aimerait que je fasse quelque chose pour lui : en effet, à 46ans, il ne s'était jamais marié et il rêvait de se balader dans la rue avec une femme à son bras.
Je décidais donc de jouer le jeu, je mis une djellaba pour femme avec un foulard sur ma tête en ne laissant apparaître que mes yeux pour ne pas attirer l'attention dans la rue. Et nous voila dans les rues comme un couple, je me force à marcher comme une femme en roulant du cul, il porte son bras autour de ma hanche. En arrivant dans son ancien quartier, on rencontre ses anciens amis Il leur explique que je suis sa femme, il me présente en leur disant que je m'appelle Laila, il leur raconte que je suis complètement soumise à lui, qu'il fait ce qu'il veut de moi et quand il me baise, je crie comme une chienne, et ainsi il leur confirme que les Marocaines sont bien les plus grosses salopes.
A ces mots, ses copains sont morts de rire en me regardant et moi, je fais semblant de sourire du coin de l'oeil, comme si je ne comprenais pas.
En rentrant a l’hôtel, je me change vite fait et je lui dis que j'ai des courses à faire, je fonce dans les boutiques acheter de la lingerie, un string, un soutif, chose que je n'oserai jamais faire mais bon, comme je ne connais personne dans sa ville, ça craint rien, une minijupe et petit haut décolleté.
De retour à l’hôtel, je vais me changer dans la salle de bain et, en sortant, il n'en revient pas, il se jette sur moi mais je le repousse au début.
-"Tu sais Najib, tout à l’heure, j’ai entendu tout ce que tu racontais et je me suis sentie humiliée"
-"Non mon cœur, faut pas le prendre comme ça..."
-"Attends mon chéri, laisse moi finir STP : je me suis sentie humiliée mais j’ai surtout ressenti une grande excitation quand tu parlais, je m’imaginais en même temps en train de faire ces choses là avec toi et j’en étais folle. A partir d'aujourd’hui, je serai Laila ta petite chienne et ce soir, je m'offre à toi !".
Il s'est approché de moi et m'a longuement embrassé en me caressant les fesses sous ma jupe, il m’a ensuite plaqué contre le mur, m’a retiré mon petit haut et a commencé à se déshabiller lui aussi.
Je me suis levé et me suis dirigé vers le lit, je me suis cambré pour qu'il aperçoive mon string, il s'est approché, m’a retiré ma jupe et m’a allongé sur le lit.
Il s'est ensuite allongé sur le dos et j’ai commencé à le sucer tendrement comme je fais d’habitude, et lui semblait plus excité que les autres fois. Il me répétait que j’étais sa chienne, sa salope, que j’étais une putain de marocaine et ça me rendait de plus en plus folle. Quand son zob devint bien dur, il se leva et me demanda de me mettre à 4 pattes sur le lit, il commença par me mettre un doigt tout doucement et déjà, je sentais la douleur arriver, puis il en mit un deuxième et quand il fut décidé, il se pencha à mon oreille et me dit « prépare-toi ! ». Et là, j’ai senti sa grosse verge très épaisse forcer le passage et entrer au plus profond de moi, il commença ses vas et vient en accélérant, j’avais très mal, je criais, je pleurais et lui ne s’arrêtait pas, il me répétait que j’étais sa chienne, il me disait :
-"T’es trop bonne, Laila, ton cul de salope est trop bon !"
Et moi, je finis par apprécier ; au bout d’un moment, je lui demandai d’y aller plus fort
-"Oui Najib, je suis ta chienne, baise-moi, déchire mon cul de salope, il est à toi !"
Après plusieurs minutes de baise sauvage, j’ai senti son souffle s'accélérer et d’un coup, j’ai senti un chaud liquide en moi et Najib qui se couchait sur moi. On est resté un long moment allongé sans parler puis il s'est levé fumer une clope dans le balcon.
A son retour, il m’a dit que j’étais très bonne et qu’il avait de la chance d'avoir une salope comme moi. J’étais heureuse et je me suis levée pour l’embrasser.
-"Najib à partir de maintenant, je suis ta salope, considère-moi comme une femme, appelle-moi Laila !"
-"Avec plaisir ma petite chienne "
C’est ainsi que je suis devenu Laila, la petite chienne marocaine de Najib, puis celle d'autres hommes par la suite…
Commentaires textes : Écrire
A l'internat du lycée
A l'âge de19 ans, j'étais en internat dans un lycée dans une petite ville de province, située assez loin de mon
domicile. De ce fait, j'y restais pour les week-ends et les congés de courte durée. Pendant ces périodes, nous étions
très peu nombreux et c'est le surveillant général qui assurait la garde des étudiants. C'était un homme d'une
cinquantaine d'années, assez trapu, à demi chauve et au visage sévère. Il avait la réputation d'être très autoritaire
avec ses subordonnés et faisait régner l'ordre dans l'établissement.
J'avais remarqué qu'il me saluait et me regardait lorsqu'on se croisait au hasard des couloirs. Je n'avais pas trop fait
attention à cette marque d'intérêt qu'il semblait me porter, cependant j'étais toujours un peu ému quand cela arrivait.
Pendant les vacances de la Toussaint, c'est lui qui assurait la surveillance des dortoirs. Le mien était en fait une
grande chambre de quatre lits, avec une porte non fermée, pour en faciliter la surveillance. J'étais le seul occupant de la chambre.
A l'extinction des lumières, je me couchais. De mon lit, je pouvais voir les allées et venues dans le couloir et je
remarquais que le surveillant passait et repassait souvent, qu'il ralentissait sa marche à proximité de ma chambre et
que parfois il s'arrêtait près de la porte...J'étais quelque peu surpris et fis semblant de dormir.
Soudain, je sentis une légère secousse contre mon lit...j'ouvris les yeux et vis que le surveillant se tenait près de mon lit. Il me regardait fixement. Je le voyais distinctement, grâce à la lumière d'un réverbère situé à l'extérieur du
bâtiment. Il porta sa main sur sa braguette, ouvrit son pantalon et sortit un sexe bien raide et de bonne taille. Il
commença de lents mouvements de va et vient sur sa tige. Parfois, il décalottait son gland lisse et volumineux. Il
passait aussi sa main sous ses volumineux testicules. Il les soulevait pour les exposer, pour bien me les montrer.
J'étais un peu gêné mais très excité par ce spectacle et par cette présence. Je respirais fort. Les mouvements
brusques de la main du surveillant sur son sexe secouaient mon lit. Il savait que je le regardais se branler et que
j'étais attiré par le spectacle qu'il m'offrait.
Il s'approcha encore plus du lit et vint présenter son sexe près de mon visage. Je respirais son odeur forte et
regardais le gros membre surmonté de son gland lisse qui se dirigeait tout droit près de mes lèvres. L'homme prit
fermement ma main et l'appliqua sur son gland...la sensation fut très forte, j'ouvris mes doigts pour saisir ce zob
qui m'était offert. Mon excitation était à son comble...J'étais le jouet d'un homme qui me désirait, qui bandait dur
pour moi.
Finalement, il poussa son gland contre mes lèvres qui s'ouvrirent pour l'accueillir. Ma langue s'affaira tout autour
comme sur une glace qu'on lèche. L'homme se mit à gémir discrètement, puis je me mis à téter son gros gland lisse
tout en branlant son membre délicatement.
Soudain, il sortit son membre de ma bouche, le remit dans son pantalon car il y avait du mouvement dans le
couloir....le surveillant s'éclipsa en me faisant un signe de la main....
J'étais très excité par ce qui venait de m'arriver, la sensation de m'être soumis ainsi à un homme sans chercher à lui
résister. Il est vrai que l'homme était autoritaire et je m'étais laissé vaincre sans même tenter de combattre, de lui
refuser.
Je n'arrivais pas à trouver le sommeil, et un peu plus tard, je vis le surveillant pénétrer de nouveau dans la chambre,
et d'un pas déterminé, s'approcher de mon lit. Il souleva la couverture et saisit mon pyjama qu'il baissa d'un geste
brusque. Il me retourna sur le côté d'un geste. Il commença à me caresser les fesses que j'avais bien rondes, larges
et profondes. Il fit pénétrer sa main entre elles jusqu'à titiller mon anus avec ses doigts. J'adorais cette caresse à la
fois douce et ferme. Je relevais légèrement mes fesses pour lui en faciliter l'accès...il restait silencieux de peur
d'alerter le voisinage...je gémissais doucement, la tête dans l'oreiller...il s'était penché sur mon dos et je sentais son
souffle chaud me balayer la nuque.
Il avait bien écarté mes fesses. Je sentis que, maintenant, il faisait aller et venir son gland chaud tout le long de ma
raie, de bas en haut...le lit était haut, l'approche en était facilitée. J'étais couché sur le côté, en chien de fusil,
l'homme était debout, penché sur mon dos. Par moment, il appuyait fermement son gland contre mon anus, il
forçait, tentait de le pénétrer...il se retira, mouilla son gland et mon anus avec sa salive, copieusement, puis
recommença ses tentatives. Je me laissais faire, j'avais envie qu'il m'ouvre, me pénètre... J'avais assez mal et il forçait en donnant des petits coups de bite. Je sentais que, peu à peu, son gland pénétrait, que cet homme me prenait. Il m'avait saisi les hanches, me serrait fort comme dans une tenaille.
Enfin, son gland passa la porte étroite qu'il avait déjà bien dilatée. Je sentis son sexe bien raide rentrer profondément d'un coup, il coulissait en moi, glissait. Je sentais ses gros testicules frapper mes fesses. Je reculais pour l'avaler encore et encore...
Soudain, je sentis son sexe se raidir encore plus, il le sortit de mon corps et je sentis de puissants et abondants jets
de sperme chaud m'arroser entre les fesses et jusque sur mon dos.
Il remit rapidement de l'ordre dans sa tenue et disparut prestement dans le couloir.
Je restais dans cette position sur le côté, sans bouger, de peur de rompre les sensations que cet homme m'avait
procurées. Je passais mes doigts entre mes fesses toutes poisseuses, gluantes. J'aimais l'odeur forte de sperme qui
régnait maintenant dans la chambre. Je m'endormis dans cette position, découvert.
Dans la nuit, je sentis que quelqu'un me saisissait par les hanches. Je me réveillais en sursaut et vis le surveillant
accompagné par un autre homme, le chef de l'intendance. C'est ce dernier qui me tenait fort par les hanches. Il avait
sorti son sexe et tentait de le glisser entre mes fesses offertes. Je ne cherchait pas à me débattre pour
l'empêcher...je savais que c'était peine perdue, le surveillant était là, me tenant par les épaules...finalement, je me
laissais bien faire, je remontais mes fesses pour l'aider. Je sentis son sexe dur appuyer sur mon anus dilaté et lubrifié
par le surveillant et me pénétrer à son tour. Il glissa bien à fond et il me pistonna pendant plusieurs minutes bien
profondément. Je sentis des soubresauts agiter son membre qui cracha de nombreux et abondants jets de sperme
chaud. L'homme grogna de satisfaction et se retira en m'embrassant dans le cou.
Les deux compères disparurent dans les ténèbres, discrètement.
Depuis cette mémorable nuit, je suis devenu leur salope soumise et docile, leur « vide-couilles ».
domicile. De ce fait, j'y restais pour les week-ends et les congés de courte durée. Pendant ces périodes, nous étions
très peu nombreux et c'est le surveillant général qui assurait la garde des étudiants. C'était un homme d'une
cinquantaine d'années, assez trapu, à demi chauve et au visage sévère. Il avait la réputation d'être très autoritaire
avec ses subordonnés et faisait régner l'ordre dans l'établissement.
J'avais remarqué qu'il me saluait et me regardait lorsqu'on se croisait au hasard des couloirs. Je n'avais pas trop fait
attention à cette marque d'intérêt qu'il semblait me porter, cependant j'étais toujours un peu ému quand cela arrivait.
Pendant les vacances de la Toussaint, c'est lui qui assurait la surveillance des dortoirs. Le mien était en fait une
grande chambre de quatre lits, avec une porte non fermée, pour en faciliter la surveillance. J'étais le seul occupant de la chambre.
A l'extinction des lumières, je me couchais. De mon lit, je pouvais voir les allées et venues dans le couloir et je
remarquais que le surveillant passait et repassait souvent, qu'il ralentissait sa marche à proximité de ma chambre et
que parfois il s'arrêtait près de la porte...J'étais quelque peu surpris et fis semblant de dormir.
Soudain, je sentis une légère secousse contre mon lit...j'ouvris les yeux et vis que le surveillant se tenait près de mon lit. Il me regardait fixement. Je le voyais distinctement, grâce à la lumière d'un réverbère situé à l'extérieur du
bâtiment. Il porta sa main sur sa braguette, ouvrit son pantalon et sortit un sexe bien raide et de bonne taille. Il
commença de lents mouvements de va et vient sur sa tige. Parfois, il décalottait son gland lisse et volumineux. Il
passait aussi sa main sous ses volumineux testicules. Il les soulevait pour les exposer, pour bien me les montrer.
J'étais un peu gêné mais très excité par ce spectacle et par cette présence. Je respirais fort. Les mouvements
brusques de la main du surveillant sur son sexe secouaient mon lit. Il savait que je le regardais se branler et que
j'étais attiré par le spectacle qu'il m'offrait.
Il s'approcha encore plus du lit et vint présenter son sexe près de mon visage. Je respirais son odeur forte et
regardais le gros membre surmonté de son gland lisse qui se dirigeait tout droit près de mes lèvres. L'homme prit
fermement ma main et l'appliqua sur son gland...la sensation fut très forte, j'ouvris mes doigts pour saisir ce zob
qui m'était offert. Mon excitation était à son comble...J'étais le jouet d'un homme qui me désirait, qui bandait dur
pour moi.
Finalement, il poussa son gland contre mes lèvres qui s'ouvrirent pour l'accueillir. Ma langue s'affaira tout autour
comme sur une glace qu'on lèche. L'homme se mit à gémir discrètement, puis je me mis à téter son gros gland lisse
tout en branlant son membre délicatement.
Soudain, il sortit son membre de ma bouche, le remit dans son pantalon car il y avait du mouvement dans le
couloir....le surveillant s'éclipsa en me faisant un signe de la main....
J'étais très excité par ce qui venait de m'arriver, la sensation de m'être soumis ainsi à un homme sans chercher à lui
résister. Il est vrai que l'homme était autoritaire et je m'étais laissé vaincre sans même tenter de combattre, de lui
refuser.
Je n'arrivais pas à trouver le sommeil, et un peu plus tard, je vis le surveillant pénétrer de nouveau dans la chambre,
et d'un pas déterminé, s'approcher de mon lit. Il souleva la couverture et saisit mon pyjama qu'il baissa d'un geste
brusque. Il me retourna sur le côté d'un geste. Il commença à me caresser les fesses que j'avais bien rondes, larges
et profondes. Il fit pénétrer sa main entre elles jusqu'à titiller mon anus avec ses doigts. J'adorais cette caresse à la
fois douce et ferme. Je relevais légèrement mes fesses pour lui en faciliter l'accès...il restait silencieux de peur
d'alerter le voisinage...je gémissais doucement, la tête dans l'oreiller...il s'était penché sur mon dos et je sentais son
souffle chaud me balayer la nuque.
Il avait bien écarté mes fesses. Je sentis que, maintenant, il faisait aller et venir son gland chaud tout le long de ma
raie, de bas en haut...le lit était haut, l'approche en était facilitée. J'étais couché sur le côté, en chien de fusil,
l'homme était debout, penché sur mon dos. Par moment, il appuyait fermement son gland contre mon anus, il
forçait, tentait de le pénétrer...il se retira, mouilla son gland et mon anus avec sa salive, copieusement, puis
recommença ses tentatives. Je me laissais faire, j'avais envie qu'il m'ouvre, me pénètre... J'avais assez mal et il forçait en donnant des petits coups de bite. Je sentais que, peu à peu, son gland pénétrait, que cet homme me prenait. Il m'avait saisi les hanches, me serrait fort comme dans une tenaille.
Enfin, son gland passa la porte étroite qu'il avait déjà bien dilatée. Je sentis son sexe bien raide rentrer profondément d'un coup, il coulissait en moi, glissait. Je sentais ses gros testicules frapper mes fesses. Je reculais pour l'avaler encore et encore...
Soudain, je sentis son sexe se raidir encore plus, il le sortit de mon corps et je sentis de puissants et abondants jets
de sperme chaud m'arroser entre les fesses et jusque sur mon dos.
Il remit rapidement de l'ordre dans sa tenue et disparut prestement dans le couloir.
Je restais dans cette position sur le côté, sans bouger, de peur de rompre les sensations que cet homme m'avait
procurées. Je passais mes doigts entre mes fesses toutes poisseuses, gluantes. J'aimais l'odeur forte de sperme qui
régnait maintenant dans la chambre. Je m'endormis dans cette position, découvert.
Dans la nuit, je sentis que quelqu'un me saisissait par les hanches. Je me réveillais en sursaut et vis le surveillant
accompagné par un autre homme, le chef de l'intendance. C'est ce dernier qui me tenait fort par les hanches. Il avait
sorti son sexe et tentait de le glisser entre mes fesses offertes. Je ne cherchait pas à me débattre pour
l'empêcher...je savais que c'était peine perdue, le surveillant était là, me tenant par les épaules...finalement, je me
laissais bien faire, je remontais mes fesses pour l'aider. Je sentis son sexe dur appuyer sur mon anus dilaté et lubrifié
par le surveillant et me pénétrer à son tour. Il glissa bien à fond et il me pistonna pendant plusieurs minutes bien
profondément. Je sentis des soubresauts agiter son membre qui cracha de nombreux et abondants jets de sperme
chaud. L'homme grogna de satisfaction et se retira en m'embrassant dans le cou.
Les deux compères disparurent dans les ténèbres, discrètement.
Depuis cette mémorable nuit, je suis devenu leur salope soumise et docile, leur « vide-couilles ».
Commentaires textes : Écrire
Au collège
Quand j'étais encore élève interne dans un collège à Rabat (capitale du Maroc), j'aimais me sentir femelle, pute, me faire baiser par plusieurs élèves !
J’adorais sentir leur zob aller et venir entre mes cuisses, s’insinuer, lentement mais sûrement, entre mes fesses pour trouver son passage au fond de mon « vagin ».
Rien que le fait d’être baisé me faisait éjaculer sans même me masturber !
Ainsi, chaque nuit, à 22 h, après que le maître d’internat éteint les lumières dans notre dortoir, je dormais nu, à plat ventre sous mes couvertures et j’attendais.
Presque 2 à 3 fois par semaine, vers 2h du matin, quand tous les autres internes étaient profondément endormis, le même groupe, composé de 3 élèves, se relayait sur moi et me baisait à tour de rôle mais toujours dans le plus grand silence afin de ne réveiller personne !
Moi, je faisais toujours semblant d’être endormi, comme étant dans un état léthargique afin de leur faire croire que je ne sentais et ne remarquais rien ! Je ne donnais aucun signe, ni d’approbation, ni de refus.
J’adorais sentir leur zob aller et venir entre mes cuisses, s’insinuer, lentement mais sûrement, entre mes fesses pour trouver son passage au fond de mon « vagin ».
Rien que le fait d’être baisé me faisait éjaculer sans même me masturber !
Ainsi, chaque nuit, à 22 h, après que le maître d’internat éteint les lumières dans notre dortoir, je dormais nu, à plat ventre sous mes couvertures et j’attendais.
Presque 2 à 3 fois par semaine, vers 2h du matin, quand tous les autres internes étaient profondément endormis, le même groupe, composé de 3 élèves, se relayait sur moi et me baisait à tour de rôle mais toujours dans le plus grand silence afin de ne réveiller personne !
Moi, je faisais toujours semblant d’être endormi, comme étant dans un état léthargique afin de leur faire croire que je ne sentais et ne remarquais rien ! Je ne donnais aucun signe, ni d’approbation, ni de refus.
Commentaires textes : Écrire